Université d’été Lions de la Musique
ACADEMIE D'ORGUE 2017
CATHÉDRALE D’EMBRUN
Interprétation et improvisation
Musique baroque française
du vendredi 21 Juillet au dimanche 30 Juillet 2017
L’ Académie s’adresse à tous les musiciens soucieux de découvrir ou d’approfondir leurs connaissances
en musique française baroque sur de superbes instruments historiques restaurés par Pascal Quoirin
Les deux orgues
Orgue de la Cathédrale Notre-Dame
Magnifique restauration signée Pascal Quoirin d’un instrument né en 1464, dont il subsiste une
grande partie du soubassement du buffet gothique, entièrement polychromé de couleurs vives :
rouge, bleu, vert, orange et noir, décoré de très belles sculptures dorées.
Il subsiste environ 60% des tuyaux de Pierre Marchand de 1601 et de ceux des frères Eustache,
de 1635.
Cet orgue est aujourd’hui un splendide instrument représentatif de la facture provençale
du XVIIème siècle.
Orgue de la Chapelle Sainte-Anne
Thème de l’Académie
Musique française aux XVIIème et XVIIIème siècles
Deux approches complémentaires sont proposées durant le stage :
- travail relatif aux oeuvres de Nicolas de Grigny, François Couperin, Louis Marchand, Louis-Nicolas Clérambault, Louis-Claude Daquin
- improvisation de la suite française baroque. Initiation et perfectionnement
Bernard Coudurier
Son activité d’interprète et d’enseignant l’a conduit dans de nombreux pays, en Grande-Bretagne, en Europe, en Corée du sud, au Japon où il est invité à donner des cours d’interprétation et d’improvisation dans le cadre de master-class.
Professeur honoraire au CRR de Besançon, directeur artistique du festival Les Jeux du Baroque, il a enregistré les oeuvres d’orgue de François Couperin, Nicolas de Grigny et Louis Marchand, les intégrales de Nicolaus Bruhns, Vincent Lübeck, Heinrich Scheidemann, de l’oeuvre écrite du vivant de Bach et celle de Johannes Brahms sur des orgues historiques.
Ardent défenseur de la musique française classique, ses Leçons de Ténèbres et motets de François Couperin sont primés au salon Musicora à Paris.
Il dit volontiers, comme François Couperin, " je préfère ce qui me touche à ce qui me surprend. »